Offrez-moi un café (si ça vous dit, t'sais)
Je suis maintenant sur buymeacoffee.com. Voici pourquoi...
Lecture aléatoire est, et demeure, un passe-temps. À la limite, c’est un rituel pour écrire de façon plus créative pour une poignée de mélomanes très cool, mais sans plus. D’où le fait que je redoute le volet « abonnement » de Substack.
Parce que, d’un côté, je doute pouvoir suivre la cadence qui vient avec : offrir du contenu exclusif et de qualité selon une certaine cadence en plus de l’infolettre « basique ». Au final, je me sentirais redevable puis misérable si j’en viens à croire que ce n’est pas à la hauteur.
De l’autre, faire dans l’abonnement pour une plateforme qui rassemble, essentiellement, des suggestions musicales, mais aussi beaucoup de dad jokes et de références à ma santé mentale me semble très « delulu ». Comme disaient les djeunes il y a quelques mois…
Ce contenu a de la valeur, certes, mais t’sais…
D’où buymeacoffee.com.
- Ça n’engage en rien (jamais, une seule fois, une fois quand ça vous dit, etc.)
- et le montant de base est quand même abordable (5$)
D’où buymeacoffee.com, aussi, parce que j’ai un projet de podcast (je suis un homme blanc d’un certain âge, après tout). Une idée de balado qui — je crois — plaira au lectorat de cette infolettre. Le « hic », c’est que je dois dois tout d’abord actualiser mon équipement audio pour faire du contenu avec invité(e)s. Les cafés envoyés iraient donc l’allègement de la facture à venir.
Je ferai donc référence à buymeacoffee.com lors des envois par courriel, mais pas trop souvent, promis. Une fois par mois, genre? vous me direz si c’est gossant, SVP.